La ponction effectuée sur le salaire des enseignants, n'enchante guère les responsables des syndicats de l'enseignement qui avertissent le gouvernement.
"La balle est dans le camp du gouvernement. Nous prenons acte de leur décision qui est conforme à la loi. Mais également que personne ne vienne nous demander de rembourser des heures, que personne ne nous demande de faire des efforts supplémentaires pour rattraper des heures", martèle Abdou Faty du Sels/A.
Selon ce dernier, "à la fin de ce mois on a constaté des ponctions sur les salaires des enseignants. Mais nous, comme on a toujours l'habitude de le dire, en tant que syndicalistes, on a une claire conscience d'une chose, on ne peut que payer le service fait." De ce fait, ce dernier accepte que c'est le service que la fonction publique paie", explique Abdou Faty.
La tradition a toujours voulu qu'après la signature d'un protocole d'accord, "que les uns et les autres fassent des efforts dans le cadre de l'apaisement en faisant de telle sorte qu'il n'y ait plus de conflit", a-t-il ajouté.
"On ne leur demande pas de remboursement, mais tout compte fait nous prenons acte", martèle ce dernier avant de poursuivre : "nous disons au gouvernement que la volonté manifestée par l'ensemble des enseignants pour au besoin combler le gap par rapport au quantum horaire, cette volonté là est aujourd'hui grippée parce qu'on ne peut pas s'attendre à ce que les enseignants puissent faire des heures supplémentaires d'autant plus qu'ils sont délestés de la moitié de leurs salaires", déclare le secrétaire général du Sels/A...
"La balle est dans le camp du gouvernement. Nous prenons acte de leur décision qui est conforme à la loi. Mais également que personne ne vienne nous demander de rembourser des heures, que personne ne nous demande de faire des efforts supplémentaires pour rattraper des heures", martèle Abdou Faty du Sels/A.
Selon ce dernier, "à la fin de ce mois on a constaté des ponctions sur les salaires des enseignants. Mais nous, comme on a toujours l'habitude de le dire, en tant que syndicalistes, on a une claire conscience d'une chose, on ne peut que payer le service fait." De ce fait, ce dernier accepte que c'est le service que la fonction publique paie", explique Abdou Faty.
La tradition a toujours voulu qu'après la signature d'un protocole d'accord, "que les uns et les autres fassent des efforts dans le cadre de l'apaisement en faisant de telle sorte qu'il n'y ait plus de conflit", a-t-il ajouté.
"On ne leur demande pas de remboursement, mais tout compte fait nous prenons acte", martèle ce dernier avant de poursuivre : "nous disons au gouvernement que la volonté manifestée par l'ensemble des enseignants pour au besoin combler le gap par rapport au quantum horaire, cette volonté là est aujourd'hui grippée parce qu'on ne peut pas s'attendre à ce que les enseignants puissent faire des heures supplémentaires d'autant plus qu'ils sont délestés de la moitié de leurs salaires", déclare le secrétaire général du Sels/A...
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